Il était une fois au stage d’été…
Je ne sais pas vous mais j’ai toujours été quelqu’un d’assez silencieux.
J’ai toujours eu des facilités à rester seul avec moi-même parce que j’ai rapidement compris que la vie se passait d’abord avec soi-même avant de se passer avec les autres.
Pourtant, je ne peux m’empêcher de remarquer dernièrement que de plus en plus de personnes parlent pour ne rien dire.
Elles parlent d’elles sans qu’on leur ait demandé quoi que ce soit.
Elles racontent leurs vies comme s’il fallait absolument la raconter, les moindres petits détails.
Alors elles s’expriment et nous dévoilent tout ce qu’il se passe et s’est passé dans leurs vies.
Le silence ? Elles ne connaissent pas.
Pire, cela les frustre, les met mal à l’aise.
Se taire ? Non ? Pour quoi faire ?
Comme si le silence était la chose à fuir coûte que coûte.
Comme si, le silence était la « mort ».
Je mettrais presque ma main à couper que vous connaissez et côtoyez malgré vous, pas par choix, des personnes comme ça sinon vous n’avez qu’à penser à Michèle dans le film « American Pie ».
Ceux qui me côtoient régulièrement peuvent le constater : Je ne parle jamais de moi spontanément.
A l’inverse, je fais parler les gens en leur posant des questions sur des sujets qui m’intéressent.
Je ne vois pas l’utilité de raconter les problèmes que je rencontre.
Je ne vois pas l’intérêt de parler de la pluie et du beau temps.
Quel serait l’utilité que je raconte mon « stage d’été » de moi-même à quelqu’un qui ne l’a pas demandé à part pour lui faire perdre de sa vie ? (Cf ce Leadercast).
Ce serait égoïste au possible.
Je crois que le problème est plus profond.
Je crois qu’il s’agit d’un problème d’éducation.
Certains diront que c’est un problème de génération.
Je crois que la majorité des gens cherchent un sens à sa vie, cherchent à occuper le temps sans avoir conscience que chaque seconde dépensée est perdue, que chaque seconde passée à parler éloigne du moment où l’on trouvera un ou plusieurs sens à sa vie, que l’on se trouvera.
Je ne sais plus dans quelle interview j’avais lu que beaucoup écoutent de la musique pour avoir du son, pour être distrait plutôt que par choix d’écouter de la musique, pour combler le silence.
Je le sais parce que j’ai été ainsi.
Voilà où nous en sommes aujourd’hui.
Plutôt que de nous partager ce qui pourrait nous élever, on nous partage ce qui nous tire vers le bas.
Qu’est ce qu’on en a à foutre qu’untel se soit levé du pied gauche, bois son café de la main droite ou passe la première vitesse avant la deuxième dans sa voiture ?
Comme si les détails communs de la vie de chacun étaient importants…
La « moyenne » parle pour parler, pour dire « Coucou, je suis là ».
Hier, alors que je parlais avec Marc de la nouvelle SP Team (SuperPhysique Team), en rigolant, il me disait misanthrope.
Ce n’est pas vraiment cela.
J’aime les autres, j’aime les humains pour ce qu’ils ont de grand en eux, pour la passion qu’ils ont, pour ce qu’ils peuvent apporter à chacun.
Mais je n’aime pas que l’on me vole ma vie si je n’ai rien demandé.
Je n’aime pas que l’on me raconte des banalités.
J’aime disposer de mon temps comme je l’entends.
Et surtout, je n’ai pas besoin d’être distrait.
Je suis assez distrait comme ça.
Je n’éprouve aucun intérêt à savoir le quotidien en détails de personnes qui n’ont rien accompli, qui subissent leurs journées.
Je n’aime pas sentir les « mauvaises ondes » et encore moins qu’on m’en balance sans que je n’ai rien demandé.
J’aime apporter des solutions, tirer vers le haut, rêver de grandeur, avoir de l’ambition, faire mieux ensemble que seul (Merci d’ailleurs pour vos commentaires chaque semaine qui m’aident à grandir).
Comme un avis qui n’est pas demandé, parler inutilement dans le seul but de socialiser, de dire qu’on existe, est pour moi, une hérésie.
Quand on me demande comment j’organise mes journées, je comprends que cela puisse intéresser puisque cela fait plus de 13 ans que j’entreprends et réalise des projets.
Cela peut donner des idées à certains sur leurs manières de s’organiser à leurs niveaux.
Mais regarder, comme c’est à la mode, la journée de personne qui n’ont rien accompli, comme on le voit sur tous les réseaux sociaux, ça, c’est la porte ouverte à la médiocrité, à une belle vie de merde, à laisser passer sa vie.
Ce que je crois, c’est que dans un monde où nous avons tous la possibilité de nous exprimer, cela ne signifie pas que nous le devons.
Ce n’est pas parce que nous le pouvons que nous le devons.
Nous le devons si et seulement si, nous contribuons par notre prise de parole, à aider notre prochain, à contribuer à son bonheur, à apporter un plus au monde.
Sinon, je pense qu’il faut se taire.
Cela peut être dur à entendre, à lire.
Mais c’est la vérité.
Si l’on parle pour combler le silence alors il y a un problème plus profond à résoudre.
Sachant que toutes les réponses à nos questions, à nos problèmes figurent au sein de nous-même, qu’il suffit de se poser avec soi-même et d’essayer de répondre à ses questions ou alors de faire des recherches par soi-même (sinon on ne retient presque rien), peut être qu’en fait, nous avons peur d’être seul avec nous-même.
Pourtant, la vie, c’est d’abord cela : Vivre avec soi-même.
Vivre avec son bruit ambiant, avec ses pensées, ses réflexions, essayer de se comprendre.
Mais si, on passe son temps à produire du bruit pour ne pas entendre son propre bruit, comment pourrait-on se trouver et accomplir quoi que ce soit ?
Je ne sais plus dans quel livre j’avais lu qu’un grand dirigeant prenait chaque jour une heure dans le noir, coupé du monde, pour réfléchir et faire le point avec lui-même.
Parce que nous avons besoin de silence pour nous parler à nous-même, pour que les idées surgissent, pour que tout se mette en place.
Je connais des personnes qui fuient autant que possible le silence et le fait de se retrouver avec soi-même, comme si on avait peur de découvrir certaines choses.
Comme si, on savait au plus profond de nous-même qu’on était pas un ange.
Je tiens à vous rassurer, personne n’est un ange à 100%.
Nous sommes, point et c’est déjà pas mal.
Je crois qu’un Leader, quelqu’un qui apprend et sait compter sur lui-même, est avant tout quelqu’un qui se parle, qui a un dialogue intérieur.
Je crois qu’un Leader est quelqu’un qui pose des questions et cherchent les réponses par lui-même.
Je crois qu’un Leader est quelqu’un qui écoute activement les autres.
Il n’est pas là pour s’imposer, pour dire « Moi, au stage d’été… ».
Vous ne verrez jamais un Leader se mettre en avant de la sorte pour compenser un manque d’attention.
Parce qu’un Leader sait que le silence est d’or, que le silence est même primordial pour réussir.
Que sans silence, dans le brouhaha en permanence d’atrui, on ne peut pas réfléchir, on ne peut pas évoluer.
Ce n’est pas pour rien qu’il y a de plus en plus de « retraite » (vacances ?) qui se font où il est pratiquement interdit de parler, pour se recentrer sur soi.
Je crois que tous ceux qui réussissent dans ce monde ont appris et apprennent chaque jour à d’abord vivre avec eux-mêmes.
Quand j’ai un problème, je ne vois pas l’utilité d’en parler, de le partager parce que je sais que je suis le seul à pouvoir le résoudre, à pouvoir m’aider.
On me reprochait dernièrement de tout garder pour moi mais je ne comprends pas en quoi cela serait mal de résoudre ses problèmes soi-même et ne pas impacter négativement les autres, comme si le partage de problème rassurait chacun quand à sa propre identité.
Comme je l’expliquais dans ce Leadercast, dans la version audio, 90% du chemin se parcourt seul.
Je sais que ce n’est pas réjouissant pour la moyenne mais la vérité, c’est que l’on vit avant tout seul avec soi-même.
C’est d’abord ça vivre.
Ce n’est pas un hasard si tous les grands Leader de ce monde sont plutôt solitaires la majorité du temps.
Parce que les idées, l’inspiration survient dans le silence.
Parfois, il m’arrive de mettre mon casque sur les oreilles quand j’écris sans rien écouter, juste pour m’isoler. Cela peut paraître fou mais c’est parce que je sais que ma tête produit trop de bruits alors j’essaies de « couper ».
Je crois qu’aimer parler pour ne rien dire est un vilain défaut qui témoigne d’un manque de compréhension de la vie.
Ce n’est pas parce quelqu’un vous dit « Salut, ca va ? » qu’il veut savoir les détails de votre vie, c’est seulement de la politesse.
D’ailleurs, je ne demande jamais si ça va si je ne suis pas vraiment intéressé.
On oublie, comme l’explique Marshall Rosenberg dans son livre « Les mots sont des fenêtres« , le poids de mots, le poids de la parole.
C’est comme si aujourd’hui, on s’exprimait, comme sur les réseaux sociaux, pour montrer qu’on est là, bien présent.
Qu’on oubliait le vrai sens de la vie qui est d’apporter, de créer du bonheur autour de soi, de la valeur.
A parler pour ne rien dire, c’est un acte égoïste que l’on fait, à « voler » de la vie à autrui qui n’a rien demandé, à lui « voler » de l’attention pour son propre plaisir, parce qu’on a peur d’être transparent, parce que l’on ne réfléchit pas.
Vous devez savoir que 90% de ma journée, je suis muet comme une tombe.
Il m’est même arrivé parfois de ne voir personne de la journée (C’est de plus en plus rare avec la Villa SuperPhysique et mes entraînements quotidiens) et de ne pas ouvrir la bouche de la journée et vous savez quoi ?
C’est ainsi que j’étais le plus productif, concentré, « focus » comme on dit.
Je ne me sentais pas déprimé, au contraire.
Je ressentais encore plus un sentiment d’épanouissement en fin de journée car j’avais produit pour « propager » le bonheur autour de moi, j’avais tenté de résoudre des problèmes qu’autrui rencontre.
Je comprends le besoin de socialiser mais il arrive un point ou trop, c’est trop.
Si l’on n’a rien d’intéressant à dire, il vaut mieux se taire.
Je sais, je sais, c’est difficile à entendre pour certains qui pensent n’avoir rien à dire d’intéressant, qui n’ont que des banalités à partager.
Mais je crois profondément que chaque personne a une ou plusieurs passions sur lesquelles échanger, sur lesquelles elle peut apprendre aux personnes qu’elle côtoie, qu’elle peut tirer vers le haut.
Parce que si c’est pour tirer vers le bas, ce sera sans moi, ce sera sans vous.
On dit qu’il faut tourner sa langue 7 fois dans sa bouche avant de parler. Cela n’a jamais été aussi vrai qu’aujourd’hui.
Parlez pour élever le niveau, parlez parce que l’on vous a posé une question sincère (Pas juste un « ca va ? » par automatisme), parlez parce que vous souhaitez apporter de la valeur.
Comprenez que la parole a de la valeur, que ce n’est pas parce que vous avez une bouche, des pensées, des expériences que vous devez en parler avec la terre entière.
La terre entière s’en fout si cela ne l’aide pas à être plus heureux.
Arrêtez de penser à votre petit-vous.
Pensez au grand tout, à ceux qui vous entourent, à ce que vous voulez réaliser dans la vie.
Un Leader ne parle pas pour ne rien dire.
Un Leader pèse chaque mots qu’il prononce.
Dans la réalité, nous vivons presque tous les mêmes moments « banals » de la vie et c’est pourquoi ils n’ont aucune valeur.
Ce qui nous intéresse, ce sont les exceptions, les différences.
Parce que si nous avons les mêmes valeurs, alors nos différences nous enrichissent.
Sinon à quoi bon parler ?
Il fait beau, il pleut, il fait gris ?
Et alors ? Est-ce une raison pour le dire ?
Tout ce que vous pensez n’a pas à être dit ou raconté et même si on vous le demande, sachez que la plupart du temps, c’est seulement pour socialiser, pas parce qu’on s’intéresse à vous.
De toute façon, vous le verrez assez vite si vous perdez l’attention de votre interlocuteur.
Les mots signifient quelque chose alors utilisez les à bon escient et arrêtez de vous comporter égoïstement.
Élevez le niveau car ce n’est qu’ainsi qu’on s’en sortira.
Sinon, taisez-vous.
Ensemble pour faire mieux que seul.
Rudy
5 réponses
Si le silence est d’or, la parole est d’argent.
Dans le fonctionnement je suis assez proche du tiens, je ne parle pas trop de moi et encore moins de mes passions, surtout si mon interlocuteur ne partage pas le même chemin. Je suis donc en grande partie d’accord avec toi, quoique un peu plus mesuré sur ce sujet.
Parler ne serait-il pas plus bénéfique chez certaines personnes que le silence ? Comme si parler d’un projet qui n’est pas encore finalisé ou lancé pouvait représenter une forme d’engagement auprès d’autrui, pour prendre ton propre cas à contre-pied. Je pensais justement à Boutch qui disait que, malgré d’excellents résultats, le délire de la musculation n’était pas le sien. Ne penses-tu pas que le fait d’avoir affiché publiquement ses ambitions ait été une forme d’engagement ou de motivation pour ne rien lâcher ? Je penses sincèrement que certaines personnes ont le besoin de parler de leur ambitions pour « s’obliger » à les réaliser.
Après, je suis bien d’accord que fonctionner comme ça c’est à nos risques et périls.
Tout comme certaines personnes qui n’osent pas ou ont peur ont besoin de parler pour être rassurées ou poussées à l’action. Oui, il vaut mieux être capable d’agir par soi-même, c’est indéniable, mais vaut-il mieux pour ces personnes ne rien oser ou parler si besoin ?
Merci pour ce podcast.
(Par rapport à mon dernier commentaire, c’est prof d’anglais que je compte faire)
Juste une petite piste :
– Compte tu faire un podcast sur la passion ? Ou as-tu déjà abordé le sujet ? Je n’ai rien trouvé en tout cas.
Je trouve que c’est un sujet intéressant car la passion peut rapidement accaparer tout notre temps et devient vite chronophage. D’ailleurs tout le monde ne semble pas avoir la même définition de la passion. Quand on entend des gens dirent être passionné par la foot alors qu’ils n’ont pas touché un ballon depuis des années et se contente des matchs à la télé… Ça me fais doucement rire. Je pense qu’il y à vraiment à creuser de ce côté !
« Avant de parler, assure-toi que ce que tu vas dire est plus beau que le silence. »
malheureusement « La civilisation moderne est une conspiration universelle contre toute espèce de vie intérieure » disait Bernanos
Je me rappelle aussi avoir déjà cité cette phrase d’Henry David Thoreau « Somme toute, il faut bien se rendre à l’évidence que mener une existence est à la fois très personnel et silencieux ». On pourrait presque développer en affirmant que ce qui se fait dans le tumulte mondain n’est au contraire que l’écume de la vie, disparaissant comme elle est venue. avec les années je sens de plus en plus nettement que le bénéfice nous arrive toujours après l’action, comme la récupération dans le sommeil qui suit la musculation. la réflexion après la lecture, dans la solitude après une conversation enrichissante. il m’est arrivé de fermer un bouquin pour en prendre un autre, mais à vouloir trop en faire, on se prive de toute cette richesse que notre cerveau et notre corps tout entier prennent le temps à assimiler.
dans les relations le silence est justement Le critère d’une amitié sincère ou d’un couple arrivé à maturité : se sentir libre de laisser place au silence, et s’y sentir bien. la plupart vit dans un monde « humain, trop humain » dirait Nietzsche, c’est-à-dire un monde de forme, d’apparence, de bons mots. à cela s’ajoute que le français « préfère une belle phrase à une vérité mal formulée », et depuis l’avènement de la « téléréalité », le culte de la starlette sortie de nulle part et promue du jour au lendemain au centre de toutes les attentions. les réseaux sociaux n’y sont pour rien car ils peuvent être utilisés à bon escient comme tu le fais, mais c’est désormais la place publique où s’étalent toutes les névroses. la quintessence de cette décadence étant le « Selfie »… à l’opposé de cela les pratiquants de sports « ultra » conviennent à peu près tous que leur motivation secrète est d’aller se trouver eux-mêmes au bout de ces interminables heures d’effort solitaires.
mais on peut ressortir encore une fois la métaphore du panier de crabes : le plus mauvais s’efforce toujours de ramener l’autre à soi plutôt que de le prendre pour exemple et comme moteur pour s’élever. et nous avons tous une merveilleuse tante ou une voisine qui soit l’incarnation de cette excellente formule de Gustave le Bon : « Avec un petit stock de formules et de lieux communs appris dans sa jeunesse, nous possédons tout ce qu’il faut pour traverser la vie sans la fatiguante nécessité d’avoir à réfléchir sur quoi que ce soit ». le problème n’est d’ailleurs pas de parler pour ne rien dire, mais de parler bien que l’on n’ait rien à dire. ces gens-là me font l’impression de crier « au secours, je me sens seul, j’ai besoin d’amour ». alors si j’ai le temps, je veux bien, mais quand on invite quelqu’un à dîner on ne le reçoit pas le cul à l’air en disant « tiens là-bas y’a un paquet de pâtes démerde-toi. » on fait un effort, et même du mieux qu’on peut.
tu me fais plaisir à t’avouer silencieux le plus souvent, et en valorisant cela je crois que c’est un vrai service que tu rends à d’autres peut-être qui comme moi failli s’accepter comme taciturnes, associables, tout ce qu’on a pu leur dire parce que c’est l’impression qu’ils faisaient aux moutons. petit je quittais les dîners de famille avec un tête d’une tonne, j’avais l’impression que la grand-mère me marchait sur le cerveau à nous infliger le récit de son marché de la veille… on a de la peine pour ces gens-là quand on est éveillé ou qu’on s’y efforce, on se dit « il y a tellement plus, la vie ne peut pas être que cela ». la beauté de la politesse est justement de se faire tout rond comme un galet poli par la mer, débarrassé de ses petites misères personnelles. les « bonjour, ça va? » et autres formules d’usage signifient justement que « nous allons faire ce que font des personnes civilisées dans cette situation, nous n’allons pas commencer à déballer ». mais… Les mots et les monnaies n’ont plus d’ancrage avec la réalité. Tout est artificiel, faux. Les mots sont comme des « billets à ordre » qui ont perdu leur valeur. Et comme on sait que la mauvaise monnaie chasse la bonne, celui qui offrirait au public de vraies pièces semblerait nous payer de mots. Dans un monde où chacun triche, c’est l’homme vrai qui fait figure de charlatan. (André Gide)
Allez… j’arrête de parler 😉
Salut Rudy, article intéressant encore une fois ! Je ne parlerai pas pour ne rien dire ( lol ), je voulais juste partager ce lien vers un autre article vidéo qui est a mon sens un bon complément de ton article : https://youtu.be/zuHyPF4oIOw
Merci pour ton travail.
Rudy qui aime bien le ping pong devrait apprécier en effet 🙂
Je me demande à l’image de la télé réalité l’intérêt des jeux vidéos, des films qui sont au final des distractions qui n’aident pas les autres , et qui font perdre du temps à celui qui va y consacrer du temps ?
Si j’essaye de répondre à cette question seul, je dirais que d’un côté cela peut faire réfléchir afin d’avoir de nouvelles idées pour ses projets après tout dépend ce que l’on choisit de regarder, et d’un autre que cela permet de lâcher prise comme une sorte de repos pour le cerveau ou bien au final cela n’est en réalité qu’un bonheur illusoire qui va peu à peu éteindre notre lumière qui nous permet d’éclairer (d’aider) les autres.
Vos avis m’intéresse, si vous voulez me répondre allez y 🙂